Clap de fin pour cet incroyable week-end organisé par le Groupe BPCE pour le 2ème DEFIMAGINE 2024 !
Afin de célébrer les valeurs du sport et de l’olympisme, 42 équipes de toutes les entités du Groupe venues de toute la France et du monde s’affrontaient sur 4 épreuves : biathlon, ski, sprint non voyant et volleyball dans une ambiance sportive et festive.
Nous sommes fiers de notre équipe « TeamagineCEIDF » qui a su montrer sa sportivité, son esprit d’équipe, sa convivialité et qui a gagné avec de superbes performances dont 2 podiums :
✌️15ème au classement général
🥇1er sur le quizz des supporters
🥉3ème au slalom parallèle
Bravo et merci à tous nos collaborateurs qui ont représenté la Caisse d’Epargne Ile-de-France lors des différentes épreuves.
Cet événement a permis de mettre en avant les valeurs de respect, sportivité et de convivialité entre toutes les équipes, un moment de partage fort en émotion !
Alors BRAVO et MERCI à tous et à toutes, ainsi qu’à l’ensemble des équipes impliquées dans l’organisation.
Rdv dans 2 ans pour un nouveau DEFIMAGINE !
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Acteur majeur dans le domaine de la santé, la Caisse d’Epargne Ile-de-France finance le futur Groupement hospitalier Nord-Essonne situé sur le plateau de Saclay, qui accueillera ses premiers patients dès 2025. Construit par Eiffage, il accueillera sur 45 000 m2, 475 lits et 10 blocs opératoires, des services de médecine, de chirurgie, de médecine aiguë (réanimation, soins intensifs) et une maternité. La première pierre a été posée cet été et l’ouverture au public est prévue en 2025.
La différence entre le coût total de la construction et les fonds propres est financée par un emprunt bancaire de 117 millions, réparti à parts égales entre 4 banques dont la Caisse d’Epargne Ile-de-France.
Nous octroyons ainsi un prêt de 29,25 millions d’euros sur 34 ans. Le bouclage du plan de financement ayant été perturbé par la crise sanitaire, la Caisse d’Epargne-Ile-de-France a également accordé une ligne de financement à court terme de 10 millions d’euros pour accompagner le futur hôpital dans la gestion de sa trésorerie.
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Le département de l’Essonne a décidé de reconduire la Prime éco-lo-gis (PEL 91) destinée à financer les travaux de rénovation dans son logement.
Plafonnée entre 2 000 et 4 000 euros en fonction des ressources des ménages, la prime peut atteindre entre 10 et 20 % du montant des travaux effectués.
Pour la toucher, il faut être propriétaire occupant (maison ou appartement) et disposer de sa résidence principale dans le département depuis plus de quinze ans.
La prime finance les travaux permettant d’obtenir un gain énergétique annuel minimal de 35 %. Une aide forfaitaire de 800 euros peut également être distribuée pour financer des “travaux essentiels”. Eco-logis se cumule avec d’autres primes.
Depuis son lancement, le dispositif a permis de rénover près de 26 000 logements individuels.
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Le bilan carbone est une estimation du volume des émissions de gaz à effet de serre directes et indirectes générées par une entreprise.
Le CO2 n’étant pas le seul gaz concerné, le terme “équivalent carbone” est en réalité le plus approprié puisqu’il sert de baromètre général pour les 6 gaz impliqués dans les émissions liées à la vie de bureau. Il existe différents niveaux de mesure que l’on appelle des scopes.
La scope 1 concerne tous les gaz à effet de serre émis directement par l’entreprise.
La scope 2 regroupe les émissions indirectes liées à l’achat ou à la production d’énergie.
Et la scope 3 comprend toutes les émissions indirectes, y compris en amont et en aval de l’activité (logistique, transport des marchandises et des personnes…).
Vers un étau carbone
Depuis la loi Grenelle 2 de 2010, les entreprises de plus de 500 salariés (250 dans les DOM), les collectivités de plus de 50 000 habitants, les établissements publics de plus de 250 agents et les services de l’Etat ont l’obligation de réaliser, tous les 4 ans, un bilan de leurs émissions de gaz à effet de serre (BEGES, également appelé bilan carbone).
Ce bilan carbone doit être publié sur le site de l’ADEME. Pour répondre à cette obligation, la Caisse d’Epargne Ile-de-France et le Groupe BPCE ont fait le choix de réaliser ce bilan carbone sur une base annuelle, afin d’être en capacité de mesurer chaque année les évolutions.
Depuis 2016, les manquements à l’établissement ou à la transmission du bilan des émissions de gaz à effet de serre peuvent être sanctionnés par une amende d’un montant de 10 000 € avec un maximum de 20 000 € si récidive.
À l’horizon 2024, va s’amorcer une “taxonomie européenne” qui va encore accélérer l’engagement des entreprises vers les activités vertes permettant de délaisser progressivement les autres.
En réponse au dérèglement climatique, l’Accord de Paris vise à limiter le réchauffement climatique à 2°C maximum d’ici 2100.
Pour y arriver il était important d’identifier les grands postes qui rassemblent l’ensemble des facteurs d’émissions de gaz à effet de serre. Voici la répartition en pourcentage pour la Caisse d’Epargne Ile-de-France :
La Caisse d’Epargne Ile-de-France se mobilise et met en place des plans d’actions pour agir sur 4 grands piliers clés : le Numérique, les Achats, l’Immobilier et la Mobilité.
Agir collectivement et individuellement
Devant cet étau carbone qui se profile, la Caisse d’Epargne Ile-de-France se mobilise et met en place des plans d’actions pour agir sur 4 grands piliers clés : le Numérique, les Achats, l’Immobilier et la Mobilité. Le Numérique faisant partie intégrante des Achats.
L’objectif sera de réduire notre bilan carbone de 15 % par rapport aux résultats 2019, d’ici 2024. Cette année-là, le total des émissions s’élevait à 31 000 tonnes eqCO2 mais ce chiffre était déjà en baisse dès 2020 avec 28 758 tonnes.
La dynamique se poursuit donc et continuera de s’accentuer d’année en année, soit 2,6 kteqCO2 par collaborateur (en comparaison, les émissions de CO2 moyennes d’un Français sont de 12 / an et par habitant).
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Les conditions du recours à l’affacturage ont nettement évolué. Est-il pertinent pour toutes les entreprises ?
Gaëtane Huguenet : L’affacturage permettait d’abord à une entreprise qui n’avait plus accès au financement bancaire classique de continuer à bénéficier d’un financement court terme. Désormais, il s’agit aussi pour l’ensemble des entreprises, d’un mode de financement complémentaire. Il est d’autant plus attractif que le processus est complètement automatisé et que les clients de l’entreprise ne sont pas nécessairement informés que leurs factures sont affacturées. Le factor peut prendre en charge la relance, le recouvrement des factures impayées, ou non.
Laurène Arnoult : Nous pouvons aider une entreprise à passer un moment difficile, car un financement à travers l’affacturage est adossé à des créances et n’est donc pas lié à la qualité de l’entreprise. Son montant peut être plus élevé que celui permis par un découvert, puisqu’il peut représenter jusqu’à 100 % des factures en cours de règlement. Mais l’affacturage est d’abord une technique de financement qui permet d’accélérer sa croissance et elle est très bien adaptée aux entreprises récentes, qui ne sont pas forcément dotées de fonds propres importants.
Les sociétés en bonne santé financière ont donc aussi vocation à s’équiper.
GH : Nous conseillons aux entreprises bien portantes d’anticiper le besoin en mettant en place cette mécanique, afin de la roder et de pouvoir saisir des opportunités d’investissement, grâce à la mobilisation du poste client, dans l’attente d’un financement classique.
Nous pouvons mettre en place un financement global des factures, dit financement de balance client.
Nous sommes aussi susceptibles d’accompagner nos clients dans leur développement international, en apportant le même service à leurs filiales européennes et dans certains pays non-européens.
Certains secteurs en particulier trouvent dans l’affacturage des réponses à leurs enjeux de financement. Quels sont-ils ?
LA : Le besoin de trésorerie est un vecteur crucial de pilotage d’une entreprise.
Et ceci est d’autant plus vrai pour les entreprises dont le BFR (besoin en fonds de roulement) est élevé : il s’agit d’entreprises qui doivent assumer de longs délais de paiement de la part de grands comptes ou d’institutions du secteur public.
Cela concerne, en particulier, les acteurs du secteur du bâtiment ou de l’industrie. Leur modèle, qui se caractérise par des délais de fabrication ou de construction de plusieurs mois, voire plusieurs années, implique souvent de payer leurs fournisseurs avant même d’être payés par leurs clients.
En pratique, comment s’articulent l’affacturage et les financements classiques ?
GH : L’affacturage est un élément important de la structuration de la dette. Un crédit syndiqué est par exemple octroyé au regard de ratios d’endettement à respecter.
Or, l’affacturage peut permettre de faire sortir la dette du bilan et donc de réduire le niveau d’endettement. L’opération d’affacturage est alors qualifiée de déconsolidante. L’objectif est de diversifier les sources de financement et d’en réduire le coût global, car ce mode de financement, adossé à une créance, est moins coûteux que d’autres financements court terme, et que le découvert en particulier.
LA : Pour un dirigeant d’entreprise, échanger avec un expert factor est l’occasion d’enrichir sa culture du financement, d’avoir une réflexion sur l’ensemble des modes de financement à sa disposition.
L’affacturage est adapté aux entreprises récentes, qui ne sont pas forcément dotées de fonds propres importants.
En quoi le contexte actuel, marqué par un fort rebond de l’activité dans la plupart des secteurs, renforce-t-il l’attrait de l’affacturage ?
GH : Le redémarrage rapide de l’économie a entraîné un afflux de commandes. La conséquence est un effet ciseau, c’est-à-dire un besoin de financer des achats auprès des fournisseurs, avant de tirer concrètement les bénéfices de cette reprise, dans un contexte où les coûts d’approvisionnement ont augmenté.
L’affacturage pourra efficacement répondre à ces nouveaux besoins.
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Acteur majeur dans le domaine de la santé, la Caisse d’Epargne Ile-de-France finance le futur Groupement hospitalier Nord-Essonne situé sur le plateau de Saclay, qui accueillera ses premiers patients dès 2025.
Construit par Eiffage, il accueillera sur 45 000 m2, 475 lits et 10 blocs opératoires, des services de médecine, de chirurgie, de médecine aiguë (réanimation, soins intensifs) et une maternité.
La première pierre a été posée cet été et l’ouverture au public est prévue en 2025.
La différence entre le coût total de la construction et les fonds propres est financée par un emprunt bancaire de 117 millions, réparti à parts égales entre 4 banques dont la Caisse d’Epargne Ile-de-France.
Nous octroyons ainsi un prêt de 29,25 millions d’euros sur 34 ans. Le bouclage du plan de financement ayant été perturbé par la crise sanitaire, la Caisse d’Epargne Ile-de-France a également accordé une ligne de financement à court terme de 10 millions d’euros pour accompagner le futur hôpital dans la gestion de sa trésorerie.
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EN UN COUP D’ŒIL, VOICI CE QUE VOUS TROUVEREZ DANS CE LIVRE BLANC :
Les prérequis pour s’implanter à l’international
Comment se faire accompagner ?
Le rôle des organismes spécialisés, des pouvoirs publics, de la banque…
Comment évaluer ses capacités à se lancer à l’international ?
Les bonnes questions à se poser, les outils de diagnostic
Comment élaborer son offre ? L’étude de marché, l’analyse du contexte local (législation, risques…)
Comment se préparer à vendre ?
La prospection, les solutions de distribution, les encaissements
Comment sécuriser son développement à l’international ?
Les garanties, les assurances, la prévention des risques
Les structures juridiques
Pourquoi faire le choix de la filiale ?
Les avantages fiscaux, la maîtrise des risques en proximité, l’image sur le marché local… Mais aussi les erreurs à éviter !
Pourquoi faire le choix de la succursale ?
Les obligations réglementaires, le cadre fiscal, l’organisation…
Pourquoi faire le choix du bureau de représentation ?
Bénéfices, limites…
Pourquoi faire le choix de la joint-venture ?
Conditions, avantages, régime fiscal…
Le rôle de la banque
Aide à la création de filiales et aux opérations d’acquisitions internationales
Gestion administrative, comptable et financière
Financement du développement
Lignes d’avances en devise, préfinancement de l’export
Le livre blanc est également enrichi de témoignages d’experts et de solutions concrètes à disposition immédiate des dirigeants désireux de réussir le développement international de leur structure. Il est un outil indispensable, créé avec avec Le MOCI, Bpifrance et Pramex International, pour oser voir plus loin, plus grand.
A l’occasion du lancement de « l’alliance pour le logement » le 9 mars au Palais Brongniart à Paris, les représentants des cinq entités partenaires – Emmanuelle Cosse, présidente de l’USH, Olivier Salleron, président de la FFB, Christophe Robert, délégué général de la Fondation Abbé Pierre et Catherine Vautrin (pour les deux associations d’élus) – ont présenté 21 propositions réparties en 7 thèmes sur lesquelles « le futur président pourra s’appuyer ».
Malgré la diversité de ces acteurs, « des convergences très fortes entre nous existent pour lesquelles nous ne voulons plus que l’on nous oppose », a prévenu Emmanuelle Cosse. « Le caractère inédit » de cette alliance reflète, selon Christophe Robert, « des inquiétudes et l’importance du logement ». Surtout après un quinquennat qui n’aurait pas tenu ses engagements, selon les membres de l’alliance, notamment « le choc d’offres » qui n’a pas diminué le prix de l’habitat ou encore le plan quinquennal pour « le logement d’abord » en faveur des personnes défavorisées.
Pointant de son côté « un problème tant quantitatif que qualitatif », Catherine Vautrin constate « une somme de sujets (l’accès au logement social et à la propriété, la politique de la ville, l’aménagement urbain, l’habitat indigne, etc.) qui s’additionnent et deviennent de plus en plus lourds ». La présidente du Grand Reims invite à « faire confiance au local pour lui permettre d’avoir une vraie capacité d’expérimentation » et plaide en faveur de « la différenciation des politiques de l’habitat pour s’adapter à chaque territoire ».
Aussi, « nous demandons que des leviers qui fonctionnent bien soient remis sur la table avec une plus grande ambition », a fait valoir Christophe Robert. Soulignant « l’enjeu très politique » du sujet, il a mis en avant « le socle commun de propositions en mesure de faire changer les choses ».
La politique du logement a « besoin d’un électrochoc », selon LR
Pour Olivier Salleron, « sur un certain nombre de sujets, nous sommes à la croisée des chemins. Alors que le prix de l’énergie flambe, quels moyens se donne-t-on pour réussir la transition écologique ? », interroge le président de la FFB. « Comment répondre dans le même temps aux besoins en logement et à la nécessaire sobriété foncière, non pas conceptuellement mais au plus près du terrain ? » L’objectif des propositions de l’alliance est non seulement de relancer la construction de logements (réformer la fiscalité, simplifier les règles d’urbanisme, etc.), notamment sociaux, mais aussi de lutter contre la précarité, le réchauffement climatique et la ségrégation territoriale (lire ci-dessous).
Pour donner toute sa place à cette « crise du logement », les membres de l’alliance ont auditionné le 9 mars certains candidats à l’élection présidentielle. Partageant le constat de « mettre le logement au cœur du débat public », Geoffroy Didier, directeur de campagne de Valérie Pécresse, a indiqué que la politique du logement avait « besoin d’un électrochoc », sans lequel risquerait de se produire une crise aussi importante que dans les années 1950. L’équipe de la candidate des Républicains propose un « projet de franche rupture » pour « aider chacun à construire sa vie », soit « trouver un logement et un cadre de vie agréables ».
Pour ce faire, LR compte mettre sur le marché chaque année 500 000 nouveaux logements et engager un grand choc de simplification des règles d’urbanisme avec une procédure unique pour toutes les grandes opérations. Sur le logement social, Geoffroy Didier a annoncé la réduction de la TVA de 10 % à 5,5 % et l’arrêt de son financement dans les villes qui ont un taux supérieur à 30 %. Enfin, pour « redonner aux maires l’envie de construire », la compensation de la taxe d’habitation sera indexée sur l’augmentation de la population.
Pour Anne Hidalgo, construction de logements et écologie ne sont pas opposés
Convaincue que « le logement contribuera à apporter des solutions aux trois crises simultanées : sociale, climatique et démocratique », Anne Hidalgo assume la nécessité de construire, notamment, 150 000 logements sociaux par an. « Je n’accepte pas que l’on oppose construction de logements et écologie », a insisté la candidate PS qui souhaite mettre en œuvre « un bouclier logement » assorti d’une allocation complémentaire pour accompagner l’effort des ménages quand le prix d’un logement dépasse de 30 % leurs revenus.
Souhaitant permettre à tous les maires le jugeant utile d’utiliser l’encadrement des loyers, la maire de Paris veut que l’Etat se substitue aux maires dont les villes ne respectent pas la loi SRU, soit un taux de 25 % de logements sociaux. Une idée reprise par les Verts qui comptent, de plus, faire passer le taux de la loi SRU à 30 % d’ici à 2030.
Annonçant de son côté la réalisation de 700 000 logements sociaux dont la moitié de très sociaux, en accélérant notamment la transformation de bureaux, Julien Bayou, représentant du candidat EELV Yannick Jadot, a indiqué que la priorité sera donnée à la rénovation thermique des bâtiments. Un plan « massif » de 10 milliards d’euros par an est prévu pour éradiquer les 5 millions de passoires énergétiques, « enjeu environnemental mais aussi d’indépendance énergétique, d’emploi, de santé et de justice sociale ».
Considérant également que l’écologie n’est pas l’ennemie du logement, le conseiller régional d’Ile-de-France estime que « c’est l’absence de volonté d’en construire qui l’est ». « Il est possible de faire en assumant que des villes soient trop denses », a argué Julien Bayou, tout en invitant à « redynamiser des territoires abandonnés faute de services publics et d’offre de transport ».
LREM veut faire de la construction durable une filière d’excellence
Bien que son bilan ait été critiqué par les membres de « l’alliance pour le logement » et les autres candidats à la présidentielle, Emmanuel Macron souhaite « continuer » l’action engagée en faveur du logement, comme l’a indiqué Emmanuelle Wargon, son actuelle ministre du Logement. L’accent sera mis, entre autres, sur la construction durable dans le cadre de la RE2020, la souveraineté énergétique et les matériaux biosourcés. « Le secteur doit devenir l’une des filières d’excellence », a indiqué Emmanuelle Wargon.
Reconnaissant que les objectifs « ambitieux » du pacte conclu avec l’USH n’avaient pas été atteints, la ministre promet de soutenir davantage le logement social, de multiplier par dix le nombre de logements intermédiaires et d’appliquer quand cela est nécessaire l’encadrement des loyers. Le candidat LREM compte également conclure « un pacte de confiance » avec les collectivités locales qui consistera à fixer des objectifs communs et à simplifier les procédures pour les atteindre. Il s’agira aussi d’adapter les logements aux spécificités territoriales et de cesser de considérer le logement uniquement « au travers du prisme des grandes villes ». A la question d’Olivier Salleron, Emmanuelle Wargon a assuré qu’en matière de construction et de rénovation, « les normes étaient stabilisées ».
La démétropolisation détendra le marché immobilier, selon le PCF
Enfin, plaçant le logement comme l’un des axes majeurs de son programme, le candidat PCF Fabien Roussel a fixé comme objectif que les Français ne consacrent pas plus de 20 % de leurs revenus à son financement, qu’il s’agisse d’un achat ou d’une location. Ian Brossat, son directeur de campagne, a présenté les trois grandes idées fortes du programme communiste.
« Le logement social sera la priorité absolue dans toutes ses dimensions, des publics les plus modestes (pension de famille, étudiants) aux classes moyennes », a prévenu l’élu parisien, avec la construction de 200 000 unités par an, le taux de loi SRU porté à 30 % et une aide renforcée à la pierre pour les collectivités locales. Les communistes comptent également accentuer la régulation sur le secteur privé par un encadrement des loyers dans toutes les grandes métropoles avec des plafonds revus, des contrôles et des sanctions.
Ils entendent par ailleurs agir sur l’aménagement du territoire. « La crise du logement est aussi une crise de l’aménagement du territoire », a estimé Ian Brossat, partisan de la démétropolisation pour détendre le marché immobilier, car « la concentration de toutes les richesses dans les grandes métropoles contribue au renchérissent du logements ».
Les 7 axes des propositions de « l’alliance pour le logement »
– Faire du logement un outil en faveur du pouvoir d’achat des ménages ;
– Augmenter la production de logements au service des besoins ;
– Simplifier les règles, décomplexifier l’action ;
– Renforcer le rôle du logement comme outil de lutte contre le réchauffement climatique ;
– Aider l’accès au logement des ménages, notamment les plus fragiles socialement et économiquement ;
– Faire du logement un outil d’aménagement du territoire ;
– Lutter contre la ségrégation territoriale.
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