Les équipes de la Direction Copro-Bailleurs de la Caisse d’Epargne Ile-de-France étaient présentes mardi 8 et mercredi 9 novembre au Salon de la Copropriété, de l’Habitat durable et connecté à la Porte de Versailles, afin de présenter nos solutions de financement à destination des syndics de copropriétés avec une équipe nationale dédiée pour répondre aux besoins d’un marché complexe.
Olivier Klein, ministre délégué chargé de la Ville et du Logement nous a gratifié de sa présence notre stand et a échangé avec nos spécialistes sur ses sujets.
Christophe Berfini, Directeur de Secteur Commercial Copro-Bailleurs en compagnie d’Olivier Klein, Ministre délégué chargé de la Ville et du Logement au Salon de la copropriété, de l’habitat durable et connecté.
Avec une direction des Copropriétés, composée d’une trentaine de collaborateurs répartis sur l’ensemble du territoire national avec 10 chargés d’affaires dont six agences en provinces (Lille, Nantes, Lyon, Bordeaux, Marseille et Montpellier) et deux agences en charge du traitement des dossiers basées au siège de la Caisse d’Epargne Ile-de-France, une Direction commerciale exclusivement dédiée aux besoins du marché a été constituée. Les Chargés d’Affaires ont pour mission de faire connaître l’offre de prêt collectif, de former, d’accompagner et de sensibiliser les syndics de co-propriétés.
L’objectif de cette direction est l’accompagnement de tous nos clients vers la transition énergétique et l’inclusion sociale en Région Île-de-France, afin de participer au verdissement et à la réhabilitation d’un parc vieillissant.
Le salon de la copropriété est un évènement complet qui se tient sur 2 jours, à la porte de Versailles et qui s’adresse aux copropriétaires décisionnaires (présidents et membres de conseils syndicaux) ainsi qu’aux professionnels de la copropriété (syndics, administrateurs de biens, …).
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Le 1er avril 2019, la Caisse d’Epargne Ile-de-France reprenait les activités du Crédit foncier, en situation de quasi-monopole sur le marché des prêts aux copropriétés. Depuis cette transition, notre secteur copros-bailleurs a pris une nouvelle dimension.
Une équipe étoffée, un maillage national
Une véritable “task force” a été constituée. Pour composer cette équipe d’experts, la Direction du Secteur Commercial Copro-Bailleurs, assurée par Christophe Berfini, s’est engagée dans un large processus de recrutement et de formation. Le département compte aujourd’hui 33 collaborateurs chargés de développer l’activité sur notre région, mais aussi au niveau national puisque l’entité spécialisée est présente sur l’ensemble du territoire. Une organisation performante a également été mise en place avec un peu plus de 20 collaborateurs répartis sur deux agences en Ile-de-France (basées à Athos) et 10 Chargés d’Affaires, dont 6 dans les grandes métropoles françaises : Marseille, Montpellier, Bordeaux, Lyon, Nantes et Lille. Ces derniers ont pour mission de faire connaître l’offre Copros-Bailleurs et de former les syndics, les maîtres d’oeuvre et les élus. Ceux-ci sont en effet “en demande” de solutions incitatrices pour réussir leur transition énergétique.
La banque s’est ainsi donnée pour but d’accompagner tous ses clients vers la transitions énergétique et l’inclusion sociale en Ile-de-France afin de participer au verdissement et à la réhabilitation d’un parc vieillissant. Elle est d’ailleurs investie dans le financement, avec les collectivités locales, de copropriétés dites “fragiles”. Son ambition est d’obtenir l’adhésion d’un plus grand nombre de syndics à travers la digitalisation de l’ensemble des process de traitement des dossiers de financement des prêts collectifs de copropriété.
Une offre renforcée
L’offre Copros-Bailleurs de la Caisse d’Epargne Ile-de-France s’articule autour de 3 produits principaux s’adressant aux syndicats des copropriétaires représentés par un syndicat professionnel :
❙ Copro 100 : ce prêt est contracté au nom du syndicat des copropriétaires, mais les prélèvements sont réalisés individuellement sur le compte de chaque copropriétaire. Il est consenti sans limite d’âge, sans questionnaire de santé, un cautionnement bancaire évite toute solidarité entre les copropriétaires en cas d’ incident de paiement.
En cas de défaillance, c’est la banque francilienne qui met en place les actions de recouvrement. Aujourd’hui, seule la CEIDF propose un tel dispositif qui satisfait non seulement les syndics de copropriétés mais également l’ensemble des copropriétaires.
❙ Prêt à taux zéro copropriété : ce prêt bonifié par l’Etat accompagne la rénovation énergétique des copropriétés. Techniquement complexe, il est cependant idéalement en phase avec les attentes
du moment : accompagner et accélérer la réduction de l’empreinte carbone des rénovations et constructions. Un cautionnement obligatoire évite toute solidarité entre les copropriétaires
en cas d’incident de paiement.
❙ Préfinancements des financements publics : ils concernent les solutions de type “Ma Prim’ Renov” et les dispositifs de l’Agence Nationale de l’Habitat (ANAH) ou des collectivités locales.
Ces aides étant versées à la réception des chantiers, Copros-Bailleurs joue ainsi pleinement son rôle de “facilitateur de projets” en donnant de la souplesse en amont aux copropriétés.
Ces solutions permettent de mesurer la dimension sociétale de notre entité Copro-Bailleurs et son alignement parfait avec notre projet stratégique PARI 2024 à la composante RSE affirmée. L’activité se développe de façon régulière grâce notamment au haut degré de technicité de l’équipe.
Parole d’expert
“Nos collaborateurs valorisent notre banque et jouent un rôle sociétal majeur” : Christophe Berfini, Directeur de secteur commercial copro-bailleurs.
Christophe Berfini, Directeur de secteur commercial copro-bailleurs
“Nous participons pleinement à un écosystème de copropriétés plus vertueux, plus dans son époque. C’est gratifiant car chaque collaborateur contribue à son niveau à la transition énergétique et valorise dans un même temps notre démarche RSE. Je suis fier de leur travail et du chemin parcouru : nous avons trouvé, ensemble, une organisation de gestion agile que nous mettons chaque jour en œuvre au profit de nos clients. Cette ingénierie haute technicité tourne à plein régime et oui, cela donne du sens à notre travail.
Le marché est profond, nous devons atteindre des niveaux de production en phase avec nos objectifs. Cela passe en priorité par une digitalisation de notre offre, également l’un des piliers du projet stratégique PARI 2024. Le challenge est passionnant.”
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Acteur majeur dans le domaine de la santé, la Caisse d’Epargne Ile-de-France finance le futur Groupement hospitalier Nord-Essonne situé sur le plateau de Saclay, qui accueillera ses premiers patients dès 2025. Construit par Eiffage, il accueillera sur 45 000 m2, 475 lits et 10 blocs opératoires, des services de médecine, de chirurgie, de médecine aiguë (réanimation, soins intensifs) et une maternité. La première pierre a été posée cet été et l’ouverture au public est prévue en 2025.
La différence entre le coût total de la construction et les fonds propres est financée par un emprunt bancaire de 117 millions, réparti à parts égales entre 4 banques dont la Caisse d’Epargne Ile-de-France.
Nous octroyons ainsi un prêt de 29,25 millions d’euros sur 34 ans. Le bouclage du plan de financement ayant été perturbé par la crise sanitaire, la Caisse d’Epargne-Ile-de-France a également accordé une ligne de financement à court terme de 10 millions d’euros pour accompagner le futur hôpital dans la gestion de sa trésorerie.
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Le département de l’Essonne a décidé de reconduire la Prime éco-lo-gis (PEL 91) destinée à financer les travaux de rénovation dans son logement.
Plafonnée entre 2 000 et 4 000 euros en fonction des ressources des ménages, la prime peut atteindre entre 10 et 20 % du montant des travaux effectués.
Pour la toucher, il faut être propriétaire occupant (maison ou appartement) et disposer de sa résidence principale dans le département depuis plus de quinze ans.
La prime finance les travaux permettant d’obtenir un gain énergétique annuel minimal de 35 %. Une aide forfaitaire de 800 euros peut également être distribuée pour financer des “travaux essentiels”. Eco-logis se cumule avec d’autres primes.
Depuis son lancement, le dispositif a permis de rénover près de 26 000 logements individuels.
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Acteur majeur dans le domaine de la santé, la Caisse d’Epargne Ile-de-France finance le futur Groupement hospitalier Nord-Essonne situé sur le plateau de Saclay, qui accueillera ses premiers patients dès 2025.
Construit par Eiffage, il accueillera sur 45 000 m2, 475 lits et 10 blocs opératoires, des services de médecine, de chirurgie, de médecine aiguë (réanimation, soins intensifs) et une maternité.
La première pierre a été posée cet été et l’ouverture au public est prévue en 2025.
La différence entre le coût total de la construction et les fonds propres est financée par un emprunt bancaire de 117 millions, réparti à parts égales entre 4 banques dont la Caisse d’Epargne Ile-de-France.
Nous octroyons ainsi un prêt de 29,25 millions d’euros sur 34 ans. Le bouclage du plan de financement ayant été perturbé par la crise sanitaire, la Caisse d’Epargne Ile-de-France a également accordé une ligne de financement à court terme de 10 millions d’euros pour accompagner le futur hôpital dans la gestion de sa trésorerie.
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A l’occasion du lancement de « l’alliance pour le logement » le 9 mars au Palais Brongniart à Paris, les représentants des cinq entités partenaires – Emmanuelle Cosse, présidente de l’USH, Olivier Salleron, président de la FFB, Christophe Robert, délégué général de la Fondation Abbé Pierre et Catherine Vautrin (pour les deux associations d’élus) – ont présenté 21 propositions réparties en 7 thèmes sur lesquelles « le futur président pourra s’appuyer ».
Malgré la diversité de ces acteurs, « des convergences très fortes entre nous existent pour lesquelles nous ne voulons plus que l’on nous oppose », a prévenu Emmanuelle Cosse. « Le caractère inédit » de cette alliance reflète, selon Christophe Robert, « des inquiétudes et l’importance du logement ». Surtout après un quinquennat qui n’aurait pas tenu ses engagements, selon les membres de l’alliance, notamment « le choc d’offres » qui n’a pas diminué le prix de l’habitat ou encore le plan quinquennal pour « le logement d’abord » en faveur des personnes défavorisées.
Pointant de son côté « un problème tant quantitatif que qualitatif », Catherine Vautrin constate « une somme de sujets (l’accès au logement social et à la propriété, la politique de la ville, l’aménagement urbain, l’habitat indigne, etc.) qui s’additionnent et deviennent de plus en plus lourds ». La présidente du Grand Reims invite à « faire confiance au local pour lui permettre d’avoir une vraie capacité d’expérimentation » et plaide en faveur de « la différenciation des politiques de l’habitat pour s’adapter à chaque territoire ».
Aussi, « nous demandons que des leviers qui fonctionnent bien soient remis sur la table avec une plus grande ambition », a fait valoir Christophe Robert. Soulignant « l’enjeu très politique » du sujet, il a mis en avant « le socle commun de propositions en mesure de faire changer les choses ».
La politique du logement a « besoin d’un électrochoc », selon LR
Pour Olivier Salleron, « sur un certain nombre de sujets, nous sommes à la croisée des chemins. Alors que le prix de l’énergie flambe, quels moyens se donne-t-on pour réussir la transition écologique ? », interroge le président de la FFB. « Comment répondre dans le même temps aux besoins en logement et à la nécessaire sobriété foncière, non pas conceptuellement mais au plus près du terrain ? » L’objectif des propositions de l’alliance est non seulement de relancer la construction de logements (réformer la fiscalité, simplifier les règles d’urbanisme, etc.), notamment sociaux, mais aussi de lutter contre la précarité, le réchauffement climatique et la ségrégation territoriale (lire ci-dessous).
Pour donner toute sa place à cette « crise du logement », les membres de l’alliance ont auditionné le 9 mars certains candidats à l’élection présidentielle. Partageant le constat de « mettre le logement au cœur du débat public », Geoffroy Didier, directeur de campagne de Valérie Pécresse, a indiqué que la politique du logement avait « besoin d’un électrochoc », sans lequel risquerait de se produire une crise aussi importante que dans les années 1950. L’équipe de la candidate des Républicains propose un « projet de franche rupture » pour « aider chacun à construire sa vie », soit « trouver un logement et un cadre de vie agréables ».
Pour ce faire, LR compte mettre sur le marché chaque année 500 000 nouveaux logements et engager un grand choc de simplification des règles d’urbanisme avec une procédure unique pour toutes les grandes opérations. Sur le logement social, Geoffroy Didier a annoncé la réduction de la TVA de 10 % à 5,5 % et l’arrêt de son financement dans les villes qui ont un taux supérieur à 30 %. Enfin, pour « redonner aux maires l’envie de construire », la compensation de la taxe d’habitation sera indexée sur l’augmentation de la population.
Pour Anne Hidalgo, construction de logements et écologie ne sont pas opposés
Convaincue que « le logement contribuera à apporter des solutions aux trois crises simultanées : sociale, climatique et démocratique », Anne Hidalgo assume la nécessité de construire, notamment, 150 000 logements sociaux par an. « Je n’accepte pas que l’on oppose construction de logements et écologie », a insisté la candidate PS qui souhaite mettre en œuvre « un bouclier logement » assorti d’une allocation complémentaire pour accompagner l’effort des ménages quand le prix d’un logement dépasse de 30 % leurs revenus.
Souhaitant permettre à tous les maires le jugeant utile d’utiliser l’encadrement des loyers, la maire de Paris veut que l’Etat se substitue aux maires dont les villes ne respectent pas la loi SRU, soit un taux de 25 % de logements sociaux. Une idée reprise par les Verts qui comptent, de plus, faire passer le taux de la loi SRU à 30 % d’ici à 2030.
Annonçant de son côté la réalisation de 700 000 logements sociaux dont la moitié de très sociaux, en accélérant notamment la transformation de bureaux, Julien Bayou, représentant du candidat EELV Yannick Jadot, a indiqué que la priorité sera donnée à la rénovation thermique des bâtiments. Un plan « massif » de 10 milliards d’euros par an est prévu pour éradiquer les 5 millions de passoires énergétiques, « enjeu environnemental mais aussi d’indépendance énergétique, d’emploi, de santé et de justice sociale ».
Considérant également que l’écologie n’est pas l’ennemie du logement, le conseiller régional d’Ile-de-France estime que « c’est l’absence de volonté d’en construire qui l’est ». « Il est possible de faire en assumant que des villes soient trop denses », a argué Julien Bayou, tout en invitant à « redynamiser des territoires abandonnés faute de services publics et d’offre de transport ».
LREM veut faire de la construction durable une filière d’excellence
Bien que son bilan ait été critiqué par les membres de « l’alliance pour le logement » et les autres candidats à la présidentielle, Emmanuel Macron souhaite « continuer » l’action engagée en faveur du logement, comme l’a indiqué Emmanuelle Wargon, son actuelle ministre du Logement. L’accent sera mis, entre autres, sur la construction durable dans le cadre de la RE2020, la souveraineté énergétique et les matériaux biosourcés. « Le secteur doit devenir l’une des filières d’excellence », a indiqué Emmanuelle Wargon.
Reconnaissant que les objectifs « ambitieux » du pacte conclu avec l’USH n’avaient pas été atteints, la ministre promet de soutenir davantage le logement social, de multiplier par dix le nombre de logements intermédiaires et d’appliquer quand cela est nécessaire l’encadrement des loyers. Le candidat LREM compte également conclure « un pacte de confiance » avec les collectivités locales qui consistera à fixer des objectifs communs et à simplifier les procédures pour les atteindre. Il s’agira aussi d’adapter les logements aux spécificités territoriales et de cesser de considérer le logement uniquement « au travers du prisme des grandes villes ». A la question d’Olivier Salleron, Emmanuelle Wargon a assuré qu’en matière de construction et de rénovation, « les normes étaient stabilisées ».
La démétropolisation détendra le marché immobilier, selon le PCF
Enfin, plaçant le logement comme l’un des axes majeurs de son programme, le candidat PCF Fabien Roussel a fixé comme objectif que les Français ne consacrent pas plus de 20 % de leurs revenus à son financement, qu’il s’agisse d’un achat ou d’une location. Ian Brossat, son directeur de campagne, a présenté les trois grandes idées fortes du programme communiste.
« Le logement social sera la priorité absolue dans toutes ses dimensions, des publics les plus modestes (pension de famille, étudiants) aux classes moyennes », a prévenu l’élu parisien, avec la construction de 200 000 unités par an, le taux de loi SRU porté à 30 % et une aide renforcée à la pierre pour les collectivités locales. Les communistes comptent également accentuer la régulation sur le secteur privé par un encadrement des loyers dans toutes les grandes métropoles avec des plafonds revus, des contrôles et des sanctions.
Ils entendent par ailleurs agir sur l’aménagement du territoire. « La crise du logement est aussi une crise de l’aménagement du territoire », a estimé Ian Brossat, partisan de la démétropolisation pour détendre le marché immobilier, car « la concentration de toutes les richesses dans les grandes métropoles contribue au renchérissent du logements ».
Les 7 axes des propositions de « l’alliance pour le logement »
– Faire du logement un outil en faveur du pouvoir d’achat des ménages ;
– Augmenter la production de logements au service des besoins ;
– Simplifier les règles, décomplexifier l’action ;
– Renforcer le rôle du logement comme outil de lutte contre le réchauffement climatique ;
– Aider l’accès au logement des ménages, notamment les plus fragiles socialement et économiquement ;
– Faire du logement un outil d’aménagement du territoire ;
– Lutter contre la ségrégation territoriale.
En partenariat avec
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Dans le cadre de la construction du Village des athlètes, la Caisse d’Epargne Ile-de-France participe au financement de la SCCV Quinconces (groupement formé par la Caisse des Dépôts, CDC Habitat et Icade Promotion) à hauteur de 93 M€. Forte de son expertise reconnue sur ce type de financements, la Caisse d’Epargne Ile-de-France joue le rôle d’arrangeur et d’agent du financement sur ce projet, et se positionne comme le point de contact privilégié entre la SCCV Quinconces, opérateur lauréat de la consultation lancée par SOLIDEO pour le secteur D du village des athlètes, et les 8 autres banques du réseau Caisse d’Epargne. Cette opération d’envergure, prévoit, en “phase héritage“, la reconversion innovante et vertueuse des logements accueillant les athlètes en 650 logements familiaux, bureaux et commerces ainsi qu’une forêt urbaine de 3 000 m2. Par sa contribution, la Caisse d’Epargne Ile-de- France démontre une fois de plus son engagement et sa volonté en faveur d’une société plus responsable et inclusive.
Fin 2024, le Village de athlètes, sera reconverti en un réel quartier de vie pour les habitants de Saint-Ouen-sur-Seine. La CEIDF est partie prenante du financement de ce nouveau quartier. Fidèle à ses valeurs d’utilité et de solidarité, la Caisse d’Epargne Ile-de-France, affirme à nouveau via ce financement sa mobilisation en faveur du développement économique et social des territoires.
Un projet ambitieux et responsable
Ce projet de près de 51 700 m², répond aux enjeux du territoire de Seine-Saint- Denis par la création d’un nouveau quartier à partir des infrastructures du Village des athlètes, qui se composera de 18 % de bureaux, 5 % d’activités et de commerces et environ 650 logements. Il déclinera de manière forte les ambitions environnementales et sociales du Village des athlètes. Le projet implique de fortes notions sociales telles que l’inclusion, la mixité urbaine et la transition écologique avec l’implantation d’une forêt urbaine, prolongée par des jardins sur les toits. Cet îlot de fraicheur contribuera à la lutte contre les îlots de chaleur. Alignés sur les accords de Paris, le projet intègre un très haut niveau d’exigence environnementale et vise la réduction des émissions de carbone sur l’ensemble des bâtiments qui seront livrés.
Avec environ 7 hectares d’espaces verts, la nature occupera une place essentielle au sein du Village des athlètes. Un véritable parc urbain, des îlots paysagers ou encore les berges de Seine réaménagés offriront ainsi des lieux de promenades, de détente et de loisirs. Le Village des athlètes incarnera l’urbanisme du XXI° siècle grâce à sa performance énergétique, sa neutralité carbone et une forte valorisation de la biodiversité. Son aménagement est également imaginé pour favoriser le “vivre ensemble” et le développement d’une société inclusive, prenant en compte la diversité des besoins de chaque citoyen et notamment des personnes en situation de handicap.
La Caisse d’Epargne Ile-de-France a apporté un financement d’un montant de 93 M€ en associant 8 autres Caisses d’Epargne (CEBFC, CEHDF, CEGEE, CELC, CEMP, CEN, CEPAL, CERA) et la Compagnie Européenne de Garanties et Cautions (CEGC). Elle permet à la banque mutualiste de soutenir le groupement formé par la Caisse des Dépôts, CDC Habitat et Icade Promotion, à travers la SCCV Quinconces, dans sa volonté de transformation de cet héritage en quartier inclusif et écologique.
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Cette enveloppe de financement s’inscrit dans la volonté de Seqens, un des acteurs majeurs du logement social en Région Ile-de-France, de poursuivre le programme de rénovation de son parc de 100 000 logements, avec l’objectif d’en réduire de manière significative la consommation énergétique moyenne.
Cette 3eme convention de partenariat souligne ainsi toute l’implication de la Caisse d’Epargne Ile-de-France au côté de Seqens, dans le développement d’un habitat social durable et respectueux de l’environnement.
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