Grand Paris express : à 52 m sous terre, la station de Saint-Maur – Créteil prend forme

Sgp

« Il faut imaginer une construction à l’envers, on commence par le dessus et on descend sous terre », exposait l’architecte Cyril Trétout, l’un des associés de l’agence Anma, mardi 22 novembre 2022. L’opération de construction est devenue titanesque depuis qu’un sol argileux a considérablement alourdi les opérations. Une curiosité géologique et surtout un imprévu de taille. Alors que le projet initial devait s’enfoncer à 15 m sous terre, il faut désormais aller chercher la roche à près de 57 m de profondeur, voire même à 70 m pour les murs extérieurs coulés. La contrainte a ainsi fait, presque par hasard, de la future gare de Saint-Maur – Créteil la plus profonde de France. Elle détrône ainsi la station Abbesses, à Montmartre, qui détenait jusqu’à présent le record (36 m).

Pour observer les travaux en cours, il faut passer derrière les palissades des rues Remises et Bobillot. Là, s’ouvre un espace de 8 300 m² où s’activent les compagnons entre les grues et les tiges métalliques. Au centre, un puits, encore à ciel ouvert, s’enfonce telle une bouche béante dans la terre. L’édifice fait 56 m de long pour 37 m de large. « Ce sont des techniques de travaux classiques mais le projet est rendu exceptionnel par son ampleur, sa profondeur et par son inscription dans le tissu urbain. Nous sommes à proximité direct du RER A et des habitations de cette place. Il ne faut pas de vibrations », explique l’architecte. Toutes les données du chantier sont donc surveillées au millimètre près. Marge de manœuvre pour les vibrations ? 9 mm. Pression ? 5 barres au fond du puits. Volume de béton ? 27 500 m2. Sur ce chantier XXL de la ligne du Grand Paris express, on aime les chiffres ronds, et l’on innove à mesure que le chantier évolue.

Inverser la logique

« A la base, on devait construire la gare puis le tunnelier devait arriver dans le sarcophage et poursuivre sa route. Mais le début des travaux a pris du retard et le tunnelier en 2020 est passé avant que la gare ne soit construite, on était alors qu’à la cinquième dalle sur les sept prévues ». Il a donc fallu inverser la logique. Le tunnelier est passé puis la gare s’est construite, depuis la surface en descendant étage après étage.

Pour aller voir ça de plus près et rejoindre le plancher de la future gare, il faut s’engager dans un ascenseur pour une descente vertigineuse. D’immenses « barrettes » ont été coulées dans le sol pour soutenir la structure. Ces dernières sont aujourd’hui remplacées par des piliers en béton de meilleure facture. Un transfert de charge soutenu par d’énormes vérins. Depuis le passage du tunnelier Camille en décembre 2020, les équipes du chantier ont achevé le terrassement des derniers niveaux inférieurs de la gare et terminent le radier de 3,5 m (sorte de plancher de la gare). Prochaine étape ? Relier les galeries sous le RER et celles qui accueilleront les futurs quais. Une machine, alimentée par d’immenses tuyaux, travaille quant à elle sans relâche la roche, dans un bruit assourdissant. Un travail rendu difficile par le milieu exigu et des parois de plus de 20 tonnes.

Une couronne en forme de roue de vélo

Si le puits est pour le moment à ciel ouvert, une couronne en forme de roue de vélo coiffera en 2026 la gare. « On est parti sur cette idée d’un grand kiosque contemporain avec une forme arrondie. La lumière naturelle pénétrera dans l’ensemble du bâtiment grâce à l’ouverture de la coupole qui recouvre le kiosque », complète Cyril Trétout. Pour accéder aux quais, les 45 000 voyageurs attendus chaque jour emprunteront l’un des 11 ascenseurs disposés autour du puits. Le reste de l’espace creusé sera occupé par les machines techniques tandis qu’un escalier central en colimaçon, support de l’œuvre d’art de Susanna Fritscher, complétera la structure.

Pour ce qui est de l’ouverture de la gare, initialement prévue en 2025, il faudra patienter encore un peu. Le chantier devrait s’achever fin 2026.  Un chantier décidément peu commun qui s’intégrera sur la ligne 15 du Grand Paris express. Du long de ses 33 km, la ligne 15 sud traversera 22 communes de Pont de Sèvres à Noisy – Champs et reliera 16 gares en 37 minutes.

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Trophée Femmes d’influences 2022 : la réussite à l’honneur

Femmes d influence 2022

En tant que partenaire premium de l’événement, la Caisse d’Epargne Ile-de-France réaffirme son engagement envers l’entrepreneuriat féminin et la place des femmes dans la société.

François de LAPORTALIERE, membre du Directoire Pôle Ressources et Services bancaires de la Caisse d’Epargne Ile-de-France a remis le prix de la catégorie #politique à Isabelle Rome, Ministre déléguée auprès de la Première ministre chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Égalité des chances.

 

Quatre cents personnes étaient réunies pour découvrir les cinq lauréates récompensées pour leurs parcours exceptionnels parmi les catégories politique, économie, culture, “coup de cœur” et espoir.

Les différentes Lauréates :

  • Lauréate du prix femme d’influence Politique : Isabelle Rome – Ministre déléguée auprès de la Première ministre chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Egalite des chances
  • Lauréate du prix femme d’influence Economique : Kalina Raskin – Cofondatrice et Directrice générale de Ceebios – Centre européen de biomimétisme
  • Lauréate du prix femme d’influence Culturelle : Abnousse Shalmani – Ecrivaine, chroniqueuse
  • Lauréate du prix femme d’influence « Coup de Cœur » : Bénédicte Wolfrom – Fondatrice, Directrice générale de l’association 20Ans 1Projet
  • Prix femme d’influence Espoir : Tara Heuzé-Sarmini – 28 ans – Entrepreneure sociale, Cofondatrice et CEO de Commune Coliving – Fondatrice et administratrice de Règles élémentaires
  • Prix femme d’influence « mise à l’honneur »: Edith Cresson : Première femme Première ministre

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Grand Paris express : visite du centre d’exploitation des lignes 16 et 17 à Aulnay

Les bâtiments ont été dessinés par l’architecte Mark Wilson, agence Groupe-6. © SGP/Agence Groupe 6

C’est le chantier de tous les superlatifs, à la mesure du projet du Grand Paris express. Les sites de maintenance et de remisage (SMR) et de maintenance des infrastructures (SMI) des lignes 16 et 17 du Grand Paris express, tout comme le poste de commandement centralisé (PCC) des deux lignes, seront livrés en 2024 sous l’égide de Bouygues bâtiment Ile-de-France, mandataire du groupement réalisant les travaux et gestionnaire du site. Le SMI d’Aulnay assurera aussi la maintenance des infrastructures de la ligne 15 nord.

Ces bâtiments, dont la façade cinétique est visible de l’autoroute A1, impressionnent par leur taille. Ils s’élèvent sur l’ancien site PSA, à cheval entre les départements de la Seine-Saint-Denis et du Val d’Oise, sur les communes d’Aulnay-sous-Bois et de Gonesse. Conçus par l’architecte Mark Wilson, agence Groupe-6, ils visent la labellisation HQE excellence. Le site, qui reprend le principe des sheds, typique des bâtiments industriels du XIXe siècle, à la fois en toiture et en façade, accueillera une œuvre de l’artiste plasticien Yann Kersalé. Les bâtiments sont conçus comme de grandes ondes qui soulignent les courbes des rails et le mouvement des trains.

Tour de contrôle

Le site est relié à la ligne 16 par un tunnel d’environ 1,5 km et à la ligne 17 par une liaison d’environ 1 km. La Société du Grand Paris a acquis, en 2014, 20 des 180 ha de la friche laissée par PSA.

Le poste de commandement centralisé (PCC) des lignes 16 et 17, situé dans les étages du site de maintenance des infrastructures (SMI) baptisé tour de contrôle, assurera le pilotage, la sécurité et la sûreté du métro automatique. Des tableaux de contrôle optique le permettront, chaque opérateur disposant de six écrans pour monitorer lignes et gares. 230 compagnons œuvrent sur le site.

En marge de la visite des lieux, Bernard Cathelain, membre du directoire de la Société du Grand Paris, rappelait le calendrier d’ouverture des lignes 16 et 17 : les tronçons Saint-Denis Pleyel-Clichy-Montfermeil (ligne 16) et Saint-Denis Pleyel-Gare du Bourget (ligne 17), seront ouverts fin 2026 ; le prolongement de la ligne 16 jusqu’à son terminus Noisy-Champs est annoncé pour 2028, tout comme le prolongement de la ligne 17 jusqu’au Parc des expositions de Villepinte, tandis que le tronçon de la ligne 17 reliant le Parc des expositions au Mesnil-Amelot, son terminus, est annoncé pour 2030.

Des temps de parcours divisés par trois ou quatre

La Courneuve six-routes/Le Mesnil Amelot : 22 min contre 1h02 aujourd’hui
Saint-Denis Pleyel/Le Bourget aéroport : 9 min contre 44 aujourd’hui
Aéroport Charles-de-Gaulle/Noisy-Champs : 31 min contre 1h09 aujourd’hui

PCC, SMR et SMI

PCC : Le poste de commandement centralisé récolte en temps réel les données du métro, coordonne la circulation des trains, surveille et régule le trafic, tout en assurant la qualité du service.
SMR : Le site de maintenance et de remisage est l’endroit où les trains sont réceptionnés, révisés, entretenus, réparés et entreposés.
SMI : le site de maintenance des infrastructures regroupe les engins et installations permettant la maintenance des équipements du métro en parfait état de fonctionnement (voies, tunnels, viaducs, distribution d’énergie).

En chiffres

– 5 500 tonnes de charpente métallique, soit autant de métal que la Tour Eiffel
– 20 ha : surface totale du site (1,6 km de long)
– 50 000 m2 de surface de plancher créés soit 7 terrains de foot
– 250 000 m3 de déblais dont 150 000 m3 de traitement in situ
– 1,6 km de murs de soutènement
– 3 500 m3 de béton de fondation de voies ferrées
– 400 km de fourreaux en multitubulaires
– 8 grues à tour au démarrage
– 32 000 m3 de béton
– 30 000 m2 de dallage

Les opérateurs 

Marché tous corps d’état : Bouygues bâtiment Ile-de-France avec Fayat énergie services et Clévia
NGE-Guintoli (lot TA) : réalise le terrassement et la dépollution et les travaux de réseaux enterrés et plateformes
Eiffage TP : réalise le tunnel de la ligne 16
Ineo SCLE ferro/Unifer France/Esaf/GCF (lot VFPAC) : réalisent les travaux de voies ferrées et caténaires

Un futur quartier mixte

« Le paysage urbain de ce site, fruit d’un héritage des 40 dernières années, est composé d’objets hors d’échelle : parc d’expositions, installations aéroportuaires, infrastructures routières, zones d’activités et de commerces, indique la SGP. Avec l’arrivée de nouveaux projets tels que celui du centre d’exploitation, le quartier deviendra mixte, mêlant activités tertiaires, logements, équipements publics et espaces verts dans des proportions équilibrées. Ce réaménagement représente la plus grande opération de ce type réalisée en Ile-de-France pour les dix ans à venir ».

En partenariat avec  https://www.lejournaldugrandparis.fr/wp-content/uploads/2014/07/Capture-d%E2%80%99%C3%A9cran-2015-09-23-%C3%A0-12.07.29.png

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La Caisse d’Epargne Ile-de-France au Salon de la Copropriété, de l’Habitat durable et connecté !

Professional architect, engineer or interior hand reviewing blue

Les équipes de la Direction Copro-Bailleurs de la Caisse d’Epargne Ile-de-France étaient présentes mardi 8 et mercredi 9 novembre au Salon de la Copropriété, de l’Habitat durable et connecté à la Porte de Versailles, afin de présenter nos solutions de financement à destination des syndics de copropriétés avec une équipe nationale dédiée pour répondre aux besoins d’un marché complexe.

Olivier Klein, ministre délégué chargé de la Ville et du Logement nous a gratifié de sa présence notre stand et a échangé avec nos spécialistes sur ses sujets.

Christophe Berfini, Directeur de Secteur Commercial Copro-Bailleurs en compagnie d’Olivier Klein, Ministre délégué chargé de la Ville et du Logement au Salon de la copropriété, de l’habitat durable et connecté.

Avec une direction des Copropriétés, composée d’une trentaine de collaborateurs répartis sur l’ensemble du territoire national avec 10 chargés d’affaires dont six agences en provinces (Lille, Nantes, Lyon, Bordeaux, Marseille et Montpellier) et deux agences en charge du traitement des dossiers basées au siège de la Caisse d’Epargne Ile-de-France, une Direction commerciale exclusivement dédiée aux besoins du marché a été constituée. Les Chargés d’Affaires ont pour mission de faire connaître l’offre de prêt collectif, de former, d’accompagner et de sensibiliser les syndics de co-propriétés.

L’objectif de cette direction est l’accompagnement de tous nos clients vers la transition énergétique et l’inclusion sociale en Région Île-de-France, afin de participer au verdissement et à la réhabilitation d’un parc vieillissant.

Le salon de la copropriété est un évènement complet qui se tient sur 2 jours, à la porte de Versailles et qui s’adresse aux copropriétaires décisionnaires (présidents et membres de conseils syndicaux) ainsi qu’aux professionnels de la copropriété (syndics, administrateurs de biens, …).

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Bas 20e : une première forêt urbaine le long de la petite ceinture

Le site de la 1re forêt urbaine de Paris. © Jgp

Sur un site de la SNCF, récemment acquis par la ville de Paris, la première forêt urbaine de Paris s’élèvera dès 2024. Le premier adjoint Emmanuel Grégoire et Christophe Najdovski, adjoint à la maire de Paris en charge de la végétalisation de l’espace public, des espaces verts, de la biodiversité et de la condition animale, accompagnés d’Eric Pliez, le maire du 20e arrondissement avaient convié la presse, mercredi 9 novembre 2022, pour visiter les lieux. Ces terrains faisaient office de dépôt de bus jusqu’en 2017 après avoir servi de gare de marchandises jusque dans les années 1970. L’emprise concernée longe la Petite ceinture, entre le cours de Vincennes et la rue Volga.

Cette forêt, où 2 000 arbres seront plantés, des espèces à la fois indigènes et méditerranéennes, dans la perspective de l’évolution du climat parisien, sera connectée avec le Jardin de la gare de Charonne. A terme, elle permettra un cheminement sylvestre alternatif aux boulevard des Maréchaux jusqu’à la Flèche d’Or, ancienne gare de la rue de Bagnolet, lieu de spectacle acquis il y a deux ans par la ville de Paris. La Maison Faitout, centre de formation aux métiers culinaires et projet de tiers-lieu alternatif sera située dans ce corridor vert et donnera une nouvelle image au sud de l’arrondissement. Tout comme l’ancienne gare d’Avron, futur lieu de culture, actuellement occupée par un projet d’urbanisme temporaire porté par Yes we Camp, qui fait l’objet d’un appel à projets lancé par la SNCF.

Un deuxième poumon vert pour le 20e

Les tènements sur lesquels seront plantés des baliveaux ont été acquis pour la somme de 11,5 millions d’euros auprès de SNCF réseau. « Soit un prix infiniment inférieur à ce qu’il aurait été si l’on avait souhaité y réaliser une simple opération de promotion immobilière », a souligné le 1er adjoint d’Anne Hidalgo. Mais ce prix a pu être négocié avec la SNCF dans le cadre des relations globales nouées avec la mairie. 4,5 millions d’euros seront investis dans les aménagements des lieux. « Cette initiative illustre les orientations que nous souhaitons donner au plan local d’urbanisme bioclimatique (PLU), a également fait valoir Emmanuel Grégoire. Il y a encore quelques années, nous aurions loti cette emprise, pour y créer un nouveau quartier ».

Le maire du 20e Eric Pliez a souligné que les espaces verts, d’une surface équivalente, de 3,5 ha, qui vont être créés entre les portes de Montreuil et de Bagnolet, constitueront l’autre nouveau poumon vert de l’arrondissement. Ce projet s’inscrit également dans le cadre de l’appel à projets « Nature 2050 », lancé par la métropole du Grand Paris et CDC Biodiversité. « L’accès au public de ce tronçon, prévu au printemps 2024, viendra compléter l’ouverture au public de la Petite ceinture, qui représentera ainsi 12 km de promenades cumulés d’ici à la fin de la mandature pour une surface de 25 ha », souligne le Ville.

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Les enjeux de l’activité copropriété et bailleurs

Team of architects working on project paper blueprint. group of modern business people in casual wear discussing architectural designs while sitting in the creative office.

Le 1er avril 2019, la Caisse d’Epargne Ile-de-France reprenait les activités du Crédit foncier, en situation de quasi-monopole sur le marché des prêts aux copropriétés. Depuis cette transition, notre secteur copros-bailleurs a pris une nouvelle dimension.

Une équipe étoffée, un maillage national

Une véritable “task force” a été constituée. Pour composer cette équipe d’experts, la Direction du Secteur Commercial Copro-Bailleurs, assurée par Christophe Berfini, s’est engagée dans un large processus de recrutement et de formation. Le département compte aujourd’hui 33 collaborateurs chargés de développer l’activité sur notre région, mais aussi au niveau national puisque l’entité spécialisée est présente sur l’ensemble du territoire. Une organisation performante a également été mise en place avec un peu plus de 20 collaborateurs répartis sur deux agences en Ile-de-France (basées à Athos) et 10 Chargés d’Affaires, dont 6 dans les grandes métropoles françaises : Marseille, Montpellier, Bordeaux, Lyon, Nantes et Lille. Ces derniers ont pour mission de faire connaître l’offre Copros-Bailleurs et de former les syndics, les maîtres d’oeuvre et les élus. Ceux-ci sont en effet “en demande” de solutions incitatrices pour réussir leur transition énergétique.

La banque s’est ainsi donnée pour but d’accompagner tous ses clients vers la transitions énergétique et l’inclusion sociale en Ile-de-France afin de participer au verdissement et à la réhabilitation d’un parc vieillissant. Elle est d’ailleurs investie dans le financement, avec les collectivités locales, de copropriétés dites “fragiles”. Son ambition est d’obtenir l’adhésion d’un plus grand nombre de syndics à travers la digitalisation de l’ensemble des process de traitement des dossiers de financement des prêts collectifs de copropriété.

Une offre renforcée

L’offre Copros-Bailleurs de la Caisse d’Epargne Ile-de-France s’articule autour de 3 produits principaux s’adressant aux syndicats des copropriétaires représentés par un syndicat professionnel :

❙ Copro 100 : ce prêt est contracté au nom du syndicat des copropriétaires, mais les prélèvements sont réalisés individuellement sur le compte de chaque copropriétaire. Il est consenti sans limite d’âge, sans questionnaire de santé, un cautionnement bancaire évite toute solidarité entre les copropriétaires en cas d’ incident de paiement.

En cas de défaillance, c’est la banque francilienne qui met en place les actions de recouvrement. Aujourd’hui, seule la CEIDF propose un tel dispositif qui satisfait non seulement les syndics de copropriétés mais également l’ensemble des copropriétaires.

❙ Prêt à taux zéro copropriété : ce prêt bonifié par l’Etat accompagne la rénovation énergétique des copropriétés. Techniquement complexe, il est cependant idéalement en phase avec les attentes
du moment : accompagner et accélérer la réduction de l’empreinte carbone des rénovations et constructions. Un cautionnement obligatoire évite toute solidarité entre les copropriétaires
en cas d’incident de paiement.

❙ Préfinancements des financements publics : ils concernent les solutions de type “Ma Prim’ Renov” et les dispositifs de l’Agence Nationale de l’Habitat (ANAH) ou des collectivités locales.
Ces aides étant versées à la réception des chantiers, Copros-Bailleurs joue ainsi pleinement son rôle de “facilitateur de projets” en donnant de la souplesse en amont aux copropriétés.

Ces solutions permettent de mesurer la dimension sociétale de notre entité Copro-Bailleurs et son alignement parfait avec notre projet stratégique PARI 2024 à la composante RSE affirmée. L’activité se développe de façon régulière grâce notamment au haut degré de technicité de l’équipe.

Parole d’expert

“Nos collaborateurs valorisent notre banque et jouent un rôle sociétal majeur” : Christophe Berfini, Directeur de secteur commercial copro-bailleurs.

Christophe Berfini, Directeur de secteur commercial copro-bailleurs

“Nous participons pleinement à un écosystème de copropriétés plus vertueux, plus dans son époque. C’est gratifiant car chaque collaborateur contribue à son niveau à la transition énergétique et valorise dans un même temps notre démarche RSE. Je suis fier de leur travail et du chemin parcouru : nous avons trouvé, ensemble, une organisation de gestion agile que nous mettons chaque jour en œuvre au profit de nos clients. Cette ingénierie haute technicité tourne à plein régime et oui, cela donne du sens à notre travail.

Le marché est profond, nous devons atteindre des niveaux de production en phase avec nos objectifs. Cela passe en priorité par une digitalisation de notre offre, également l’un des piliers du projet stratégique PARI 2024. Le challenge est passionnant.”

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Jeux 2024 : la cérémonie des paralympiques dévoilée

Vue de la cérémonie d’ouverture des Jeux paralympiques place de la Concorde. © Paris 2024

Pour les premiers jeux paralympiques d’été jamais organisés en France, le comité d’organisation des JOP (Cojo) a vu les choses en grand : « On veut ouvrir grand les Jeux paralympiques avec ce lieu : le bas des Champs-Elysées et la place de la Concorde. Ce sont des endroits qui sont absolument majestueux avec des perspectives qui font rêver et qui sont aussi associés au rassemblement de notre pays chaque année », a déclaré Tony Estanguet, président de Paris 2024, le 20 octobre 2022. Cette cérémonie lancera 11 jours de compétitions sportives, qui se termineront au stade de France lors de la cérémonie de clôture, le 8 septembre 2024.

Quatre scènes seront installées place de la Concorde, sur lesquelles se dérouleront plusieurs concerts à la manière d’un festival de musique. Aux quatre coins de la place, 30 000 places payantes seront disponibles pour le public, tandis que 35 000 places gratuites seront réparties le long des Champs-Élysées d’où s’élanceront 4 400 athlètes. Présente à la conférence de presse d’annonce de cette cérémonie, la ministre des Sports Amélie Oudéa-Castéra a tenu à souligner le caractère symbolique de cette place pour une cérémonie de cette ampleur, encore jamais réalisée en France : « Cette place est un symbole d’unité de notre nation et d’unité dans notre volonté d’œuvrer à ce sport plus inclusif. »

Développer l’accessibilité

L’annonce de cette cérémonie est aussi l’occasion de revenir sur l’accessibilité pour les personnes en situation de handicap. « L’inclusion est une priorité pour nos collectivités. Sur les transports, la région Ile-de-France a mis 1,5 milliard d’euros pour rendre accessibles 200 gares, nous sommes à 125 gares accessibles et il y en aura 57 de plus d’ici à Paris 2024 », souligne Patrick Karam, vice-président chargé des sports et des Jeux olympiques et paralympiques à la région Ile-de-France.

Début octobre pourtant, le ministre des Transports Clément Beaune avait avoué que la France était en retard sur ses objectifs en termes d’accessibilité des transports publics, appuyé par plusieurs associations comme APF France handicap qui se sont désolées du manque d’accessibilité des transports parisiens. Seuls 3 % des stations de métro parisiennes sont actuellement accessibles aux personnes en situation de handicap.

La place de la Concorde rénovée avant les Jeux

Emmanuel Grégoire, premier adjoint à la maire de Paris, a indiqué que divers travaux de rénovation sont prévus d’ici à la cérémonie. « La ville a pris des engagements de rénovation pour que tous les éléments patrimoniaux en visibilité pendant la cérémonie soient rénovés, ce sera le cas des deux guérites surmonté des huit statues représentant les grandes villes françaises. Les guérites Lille et Strasbourg seront rénovées avant les jeux. Nous rénoverons aussi les magnifiques fontaines de Hittorff », précise-t-il.

Quant au grand projet de réaménagement de la place de la Concorde prévu depuis 2018, Emmanuel Grégoire affirme qu’il est trop tôt pour annoncer quoi que ce soit, mais des informations devraient être dévoilées dans les prochains mois. L’ambition de la mairie de Paris était de verdir et de piétonniser une partie de la place avant les Jeux.

En partenariat avec  https://www.lejournaldugrandparis.fr/wp-content/uploads/2014/07/Capture-d%E2%80%99%C3%A9cran-2015-09-23-%C3%A0-12.07.29.png

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Octobre Rose : notre engagement avec “Vaincre le Cancer”

Woman with pink ribbon on color background. breast cancer awaren

Octobre Rose est le mois de sensibilisation et de mobilisation contre le cancer du Sein.

Nous sommes toutes et tous concernés par le cancer du Sein :

  • En France, le Cancer du Sein touche 58.000 femmes par an (source Inca)
  • Et cause 12.000 décès par an, c’est la première cause de mortalité par cancer chez la femme
  • 9 cas sur 10 sont guéris s’ils sont dépistés tôt. Détecté à un stade plus avancé, le taux de survie diminue fortement.
La Caisse d’epargne ile-de-France partenaire de Vaincre le Cancer

La Caisse d’Epargne Ile-de-France, très impliquée dans le tissu associatif régional et qui défend des valeurs d’entraide, de générosité et de solidarité, a décidé de renouveler son soutien sous forme de mécénat à l’Association Vaincre le Cancer pour contribuer à la réalisation de ses programmes de recherche.

Vaincre le cancer a pour but exclusif la lutte contre le cancer et a pour principaux objectifs le patient et la famille dans la lutte contre cette maladie.

L’association soutient des programmes innovants pour améliorer le suivi des patientes et élaborer des traitements innovants. De grands progrès ont été réalisés grâce à la recherche mais certains cancers du Sein restent difficile à pronostiquer, il faut continuer de se mobiliser derrière les médecins et chercheurs.

C’est uniquement grâce aux dons collectés que l’association peut financer ces programmes, si vous souhaitez vous aussi soutenir Vaincre le cancer, cliquez ici : Je fais un don

Elle finance des programmes de recherche menés par les unités INSERM du site de cancérologie de Villejuif à l’hôpital Paul Brousse (plateforme d’oncogénétique, laboratoire ESteam..) et les programmes du service d’oncologie médicale dirigé par le Professeur Jean-Philippe SPANO à l’hôpital La Pitié-Salpêtrière APHP (Paris).

Le don permet de soutenir les travaux de recherche les plus prometteurs des médecins et chercheurs du site de cancérologie de Villejuif afin d’élaborer de nouveaux traitement contre les cancers et leucémies.

La Caisse d’Epargne Ile-de-France verse chaque année près de 150 000€ pour aider la recherche contre le cancer. Ses partenaires, la Fondation APHP, l’association Vaincre le Cancer, la course Odyssea et l’association Ruban Rose sont des acteurs majeurs de la lutte contre le cancer du sein.

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Paris 2024 : la 1re pierre du Prisme, dédié à la pratique universelle du sport, posée à Bobigny

Le Prisme a été conçu selon les règles de la conception universelle et disposera de 13 000 m2 pour développer la pratique du sport pour les personnes en situation de handicap. © Demathieu Bard

C’est l’un des équipements emblématiques des Jeux olympiques et paralympiques (JOP) de Paris 2024, autant par « son ambition que par sa conception », a résumé Stéphane Troussel, président du conseil départemental de Seine-Saint-Denis, lors de la cérémonie de la pose de la première pierre du Prisme à Bobigny. Cet équipement, dont le nom est l’acronyme de pôle de référence inclusif sportif métropolitain, entièrement dédié à la pratique universelle du sport, sera en effet unique en Europe, tant par sa taille – 13 100 m² dont 8 200 m² de surface utile sur trois niveaux – que par la prise en compte de l’ensemble des handicaps. Prévu pour être un site d’entraînement pour les Jeux de Paris 2024, il en constituera l’un des principaux éléments de l’héritage.

Stéphane Troussel s’est déclaré très « heureux de lancer ce beau projet » et a partagé sa « fierté [d’être tous] réunis pour offrir à la Seine-Saint-Denis, à la métropole, à la région et à l’ensemble du pays cet établissement », qui représente un « signal fort », souhaitant « faire du Prisme le vaisseau amiral du développement du sport pour toutes et tous ». Il a également signalé que 200 partenaires ont été associés à la construction du projet et souligné l’intérêt du site d’implantation de Prisme, à proximité de l’hôpital Avicenne et de l’université Paris 13. « Prisme sera aussi un espace de recherche et de formation, l’objectif est que ce soit un lieu ressource pour le monde sportif, les collectivités locales, les clubs… pour faire évoluer les pratiques », a poursuivi le président du Département, à qui la présidente de Région, Valérie Pécresse, a rendu hommage pour « cette superbe idée ».

« Héritage immatériel majeur »

« La Seine-Saint-Denis sera le terrain des Jeux paralympiques, près de la moitié des épreuves paralympiques se dérouleront dans ce département, a quant à elle salué Marie-Amélie Le Fur, présidente du Comité paralympique français. Le Prisme est le symbole matériel d’un héritage immatériel majeur que nous construisons ensemble. [Il] rayonnera bien au-delà du département. » « Le Prisme est un fabuleux témoin de notre ambition, un exemple en matière d’héritage », a renchéri le président de Paris 2024, Tony Estanguet.

Conçu par Gulizzi architecte et l’Agence Romeo architecture selon les règles de la conception universelle, le Prisme pourra accueillir tous les publics et situations de handicap (jusqu’à 1 500 usagers) dans une logique inclusive. Par exemple, une salle multisport aura un plancher LED qui permettra aux déficients visuels d’identifier le terrain, a illustré Amaury Guilbert, ingénieur travaux chez Demathieu Bard, lors de la visite du site.

Investissement de plus de 55 millions d’euros

Réalisé sous maîtrise d’ouvrage du département de la Seine-Saint-Denis par un groupement mené par Demathieu Bard, « le chantier permettra de consacrer 10 % des heures travaillées (plus de 70 000 h) à des publics en insertion professionnelle de la Seine-Saint-Denis et de promouvoir l’accès des PME-TPE du territoire à la commande publique, avec un objectif de 25 % du montant global des marchés, comme le prévoient les engagements pris avec la Solideo », font valoir les porteurs du projet et principaux financeurs.

Le Prisme représente un coût d’investissement de 55,5 millions d’euros HT financé par le département de la Seine-Saint-Denis, avec, à date, les contributions de la métropole du Grand Paris (13 millions d’euros), de la Solideo (4 millions d’euros), de la région Ile-de-France (4 millions d’euros), du Fonds de solidarité et d’Investissement interdépartemental (2,3 millions d’euros) et de la Ville de Bobigny (500 000 euros).

Alors que les travaux ont démarré dans le courant de l’été dernier avec la réalisation des terrassements, la livraison du Prisme est programmée pour le premier trimestre 2024 et une ouverture au public en septembre-octobre 2024.

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Un conseil olympique pour rassurer sur la préparation des JOP

France saint denis construction of a bridge above an highway

Emmanuel Macron a semble-t-il tenu à s’impliquer personnellement pour envoyer un signal rassurant sur l’organisation des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024. Un conseil olympique avec les parties prenantes s’est tenu à l’Elysée le 29 septembre durant près de 2h30, permettant de faire le point sur l’avancement des différents dossiers qui suivraient tous le rythme prévu. Et ainsi apaiser les inquiétudes qui se font parfois jour.

Sur chacun des dossiers – abordés parfois en profondeur -, les objectifs affichés semblent en effet être atteints. Sur les chantiers tout d’abord, la Solideo affirme être dans les temps. La désinstallation des grues a commencé sur le site du Village des athlètes et les travaux de second œuvre débutent. Du côté du Centre aquatique olympique, sous maîtrise d’ouvrage de la métropole du Grand Paris, l’installation de la charpente est en cours et la passerelle pour le relier au Stade de France a été posée cet été. Les ambitions en matière de marchés publics semblent pas ailleurs en passe d’être tenues, que ce soit pour l’attribution aux TPE, PME et au secteur de l’ESS (voir encadré) ou pour les clauses d’insertion (50 % de l’objectif cible serait aujourd’hui atteint, soit plus que prévu à ce stade).

1,8 % de dépassement de budget hors inflation

Sur les aspects financiers, les craintes pour la Solideo sont aussi plutôt écartées malgré le contexte d’inflation et de hausse des prix des matériaux. Sur l’enveloppe de 4 milliards d’euros, le dépassement serait limité à 1,8 % hors inflation. La projection de hausse liée à l’inflation est estimée, à horizon 2024 et selon un scénario plutôt pessimiste, à 150 millions d’euros. Si ces chiffres doivent encore être consolidés, l’Elysée considère donc le budget « tenu » et a annoncé que l’Etat prendrait sa part, soit environ les deux tiers comme pour les autres dépenses. Le reste devant être assuré par les collectivités locales, dont les représentants ont fait valoir que cette participation devra tenir compte de leurs autres contraintes.

Du côté de Paris 2024, les projections financières sont « en cours de révision » et une nouvelle maquette doit être finalisée d’ici à la fin de l’année qui permettra de donner de la visibilité sur les recettes et les dépenses. Avec quelques imprévus et l’inflation, l’Etat reste vigilant sur ce point tout en rappelant le principe « les Jeux financent les Jeux », c’est-à-dire sans argent public.

Le défi de la cérémonie d’ouverture

Le conseil olympique a aussi été l’occasion d’aborder les cérémonies d’ouverture, dont celle des JO sur la Seine qui inquiète notamment sur les questions de sécurité. L’Elysée a toutefois rappelé, pour écarter les possibilités de changement, qu’il n’y a pas de site alternatif prévu. Cette étape constitue toutefois un « défi de taille », reconnaît-on au sommet de l’Etat. D’un point de vue logistique notamment, avec la gestion de 162 bateaux qui devront être alimentés en électricité. Jusqu’ici, chaque difficulté a conduit à l’identification de solutions, parfois complexes. Pour les Jeux paralympiques, les études sur l’impact des installations sur la Place de la Concorde sont en cours.

La Seine est par ailleurs au centre des attentions car certaines épreuves doivent s’y dérouler. Un grand plan d’actions a donc été mis en place par les pouvoirs publics afin d’assurer la désinfection des stations d’épuration, de mettre en place des déversoirs d’orages et d’éliminer les mauvais branchements d’évacuation des eaux usées. Haropa port est notamment chargé des réseaux d’assainissement pour que les bateaux ne rejettent plus leurs eaux usées dans le fleuve. A mi-2022, le réseau était en place et la moitié des bateaux étaient connectés.

Les études sur la qualité de l’eau ont par ailleurs démontré que les objectifs prévus pour 2022 sont atteints et que les travaux nécessaires sur les usines d’assainissement ont été réalisés. Des déversoirs d’orage restent en revanche encore à construire. Des sites de baignade ouvriront progressivement et des événements tests doivent avoir lieu à l’été 2023.

« Etat d’esprit collectif »

D’autres sujets ont été balayés lors de cette réunion, dont la sécurité – qui nécessitera la mobilisation des polices municipales – ou les transports, avec un calendrier qui devrait être tenu pour le prolongement de la ligne 14 du métro. Sur l’héritage et la billetterie, les travaux avanceraient aussi au rythme prévu.

« Tout le monde a salué l’état d’esprit collectif et la volonté d’avancer, rapporte Stéphane Troussel, président du conseil départemental de Seine-Saint-Denis, qui participait à ce conseil olympique. L’état d’esprit était très positif. »

Marchés publics : le compte n’y est pas… encore

La Fédération française du bâtiment (FFB) Ile-de-France alertait récemment sur le fait que, sur les ambitions de la Solideo d’attribution des marchés publics aux TPE, PME et acteurs de l’ESS, le compte n’y était pas. Nous rapportions ainsi dans nos colonnes le 16 septembre que, à la mi-février 2022, seulement 14 % des montants des marchés avaient bénéficié à cette cible. La Solideo indique, elle, un chiffre de 24,3 % en février et de 30,3 %, soit 438,6 millions d’euros au 13 septembre. « Ce montant représente 85 % de notre objectif à horizon 2024 », indique le maître d’ouvrage des équipements olympiques.

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