La Caisse d’Epargne Ile-de-France en rose pour le mois d’octobre !

Women breast cancer support charity concept

L’AUTO-PALPATION, UN GESTE UTILE

La Caisse d’Epargne Ile-de-France renouvelle pour la 8ème année consécutive son soutien à l’association Ruban Rose. Une campagne de sensibilisation et d’appel aux dons a été déployé partout en France autour d’un geste de ralliement simple : “deux mains croisées sur la poitrine”. Par ce geste, nous souhaitons rappeler l’importance de l’auto-examen dans la prévention du cancer du sein, en complément d’un suivi régulier par un professionnel de santé une fois par an. Lorsqu’ils sont détectés rapidement, 9 cancers du sein sur 10 guérissent au bout de 5 ans.

Ces affiches publiées en agence s’accompagnent d’un QR code qui permet de consulter, sur une page dédiée du site de Caisse d’Epargne, des informations sur le cancer du sein et qui rappelle les bons gestes de l’auto-palpation.

DES CARTES BANCAIRES SPÉCIALES EN ÉDITION LIMITÉE

Pour soutenir la recherche sur le cancer du sein, la Caisse d’Epargne s’associe à Chantal Thomass, l’incontournable créatrice et directrice artistique, marraine de cœur de l’Association Ruban Rose. Chantal Thomass a dessiné une collection de cartes bancaires, mêlant sa silhouette iconique et un ruban rose. Cette édition limitée à 38 000 exemplaires, déclinée en version Visa Classic, Visa Premier et Visa Platinum, sera disponible dans les agences  à partir du 4 octobre. Pour chaque carte distribuée, la Caisse d’Epargne s’engage à reverser 2€ à l’Association Ruban Rose, pour soutenir la Recherche.

LA FFHANDBALL ET LA FFB À NOS CÔTÉS

Cette année encore, ses partenaires, la FFHandball et la Fédération Française de BasketBall se mobiliseront à nos côtés pour soutenir la cause. Les équipes de France de handball relaieront le geste de ralliement lors de leurs matchs du mois d’octobre et sur leurs réseaux sociaux. Au niveau local, la CEIDF mobilise ses collaborateurs autour de plusieurs opérations. La course Odyssea, la distribution de rubans roses et d’un fonds teams à l’ensemble des collaborateurs, le challenge Kiplin #Generose.

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La Caisse d’Epargne Ile-de-France s’engage aux côtés de la Cami Sport et Cancer !

Fight for breast cancer symbol on pink background

Depuis plus de 20 ans, la CAMI Sport & Cancer développe des programmes d’activité physique thérapeutique pour des milliers de patients touchés par un cancer afin :

  • d’augmenter leur chances de rémission,
  • d’améliorer leur qualité de vie,
  • de lutter contre les effets indésirables de leurs traitements

La CAMI accompagne tous les patients, quelque soit leur âge, leur sexe, leur condition sociale, la localisation de leur cancer et le montant de leurs parcours de soin. Cela représente :

  • + de 3000 patients accompagnés par semaine
  • + de 80 lieux en pratique en ville
  • 36 Pôles Sport & Cancer
  • un réseau de +1000 professionnels de santé
  • une présence dans 29 départements français

Le 19 septembre 2022, un dîner de gala pour soutenir le lancement d’AMNIOS, un lieu favorisant le Mieux-Vivre par la pratique d’activités physiques et sportives pour les personnes atteintes d’un cancer. Ce dîner s’est tenu au Pavillon Royal et les équipes du marché Economie Sociale et la Direction des affaires institutionnelles y ont participé.

De gauche à droite : Sabine Fleischel, Valérie Sy Cholet, Patrice Mavilla, Eric Pires, Jean-Philippe Spano, Dr Thierry Bouillet (co-fondateur de CAMI), Agnès Firmin Le Bodo (Ministre déléguée auprès du ministre de la Santé et de la Prévention, chargée de l’Organisation territoriale et des Professions de santé), Jean-Marc Descotes (co-fondateur de CAMI), Valérie Roques, Thomas Levet.

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Unisson(s) : pour que les architectes diffusent une esthétique bas-carbone

Laurent Morel, président d’A4MT (action for market transformation) (à dr.) et Cédric Borel, directeur général d’A4MT. © Jgp

« Unisson(s) est le mouvement français du nouveau Bauhaus européen », se félicitait Maud Caubet vendredi en fin d’après-midi dans les allées de la première édition du Salon de l’immobilier bas-carbone (Sibca), au Grand Palais éphémère. L’architecte figure parmi les initiateurs de cette démarche qui vise une transformation des contraintes de la RE2020 en opportunité de concevoir une nouvelle architecture bas-carbone et du vivant.

Dominique Boré, présidente d’honneur de la Maison de l’architecture et membre de l’Académie d’architecture, assure le commissariat général d’Unisson(s), porté également par A4MT, Construction 21, et l’Institut français pour la performance du bâtiment (Ifpeb). « Le RE2020 donne un ensemble de règles techniques, il revient aux architectes d’en faire la synthèse et de les traduire en une nouvelle esthétique », résume Anne Rouzée, architecte, associée d’Ateliers 2/3/4/, qui fait partie du comité scientifique d’Unisson(s).

Encourager l’émergence d’une nouvelle architecture

« Nous souhaitons réunir les acteurs de la conception, de la construction, de l’aménagement, du paysage et de l’industrie afin d’encourager l’émergence d’une nouvelle architecture, socle de l’évolution des nouveaux enjeux dans un écosystème en mutation, pour concevoir, construire et rénover les grands projets urbains et les bâtiments de demain, dans un esprit de partage des solutions », a souligné Laurent Morel, président d’A4MT (action for market transformation), la société de conseil qu’il a fondée avec Cédric Borel, déjà engagée dans le Booster du réemploi.

Un film documentaire de 26 min, conçu par Annabelle Ledoux, (agence Les grandes idées) et Maud Caubet, un livre, ainsi qu’un manifeste constituent déjà le dispositif. Celui-ci se complètera d’ ateliers de design thinking thématiques « lors desquels les participants seront invités à questionner leur regard sur l’architecture du bas-carbone et du vivant ».

Les premiers signataires

BNP Paribas real estate, Bouygues immobilier, Bureau Veritas France, Celsius energy, cabinet Malaquin, Contrast-e, Espaces ferroviaires, Quartus, Nexity, Société de la Tour Eiffel et Sogelym dixence. Unisson(s) s’appuiera par ailleurs sur le réseau de l’association Architecture & maîtres d’ouvrage (AMO).

3 questions à Dominique Boré, commissaire général d’Unisson(s)

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Dominique Boré. © Jgp

– Pourquoi cette initiative ?

Parce que chaque secteur doit « faire sa part » et parce que ceux-là ont une contribution significative aux impacts environnementaux de l’humanité, l’immobilier et la construction sont nécessairement concernés par la transition vers une économie bas carbone.

– Ce n’est quand même pas un retour vers le passé ?

Évidemment pas, même si avant l’ère industrielle la construction fut bas carbone : le potentiel énergétique des fossiles n’était pas encore connu. Bien sûr, c’était une autre époque, bien sûr, les paradigmes de la conception architecturale de l’époque n’intégraient pas – entre autres – le niveau de confort, les technologies, les usages du temps présent. Cependant, les techniques préindustrielles ou l’utilisation de matériaux vernaculaires nous rappellent qu’il y a une alternative à nos pratiques massifiées, carbonées et de surconsommation.

Une conviction : si les matériaux doivent être revus aujourd’hui à l’aune de leur empreinte carbone et de leur impact sur les ressources naturelles (ou issus du réemploi), il existe un ensemble de solutions qui se déterminent à une échelle supérieure. Ce niveau supérieur est une nouvelle pensée architecturale, celle du mariage de l’ensemble des contraintes et des usages, dans une nouvelle écriture préservant et sublimant toute forme de ressource de matière première ou la somme des produits et matières bas carbone. Choix des matériaux à la fois géo et biosourcés, mixité fonctionnelle, construction légère, essentialisation, notion  de « building as a material bank »… les architectes et concepteurs font déjà preuve de créativité soit par engagement ou lorsque le maître d’ouvrage a une demande authentique.

– Qu’est-ce qui vous pousse aujourd’hui à l’optimisme ?

Un chemin opérationnel se dessine déjà vers la neutralité carbone dans la gestion du parc existant et la nouvelle Réglementation environnementale RE2020 instaure depuis le 1er janvier 2022 la contrainte carbone, par le calcul, de tous les projets neufs. La profession prend enfin le virage d’une architecture du bas carbone. Et elle aborde en même temps un nouveau défi : reconnecter le bâtiment avec son environnement vivant. Pourquoi le vivant ici ? Parce qu’une fois qu’on a bâti, il y a cette construction érigée et ce qui reste de nature autour, comme la matière et l’antimatière. Là également, c’est une question d’équilibre, d’intelligence et de bon sens.

Cette nouvelle architecture composera davantage avec la biodiversité pour permettre à la nature de reprendre force et permettre la préservation du vivant. Personne n’a encore décrit le champs des solutions de l’architecture pour le bas carbone et le vivant. C’est l’ambition du mouvement Unissons(S), que l’industrie immobilière guidée par les architectes et de façon exemplaire, engage ce « grand virage » que l’ensemble des activités humaines doit embrasser.

Le nouveau Bauhaus européen : créer un nouvel art de vivre durable

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Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne. © Arno Mikkor

«Le nouveau Bauhaus européen associe la grande vision du pacte vert pour l’Europe à des changements concrets sur le terrain, faisait valoir Ursula von der Leyen, présidente de la commission européenne, lors du lancement de la démarche. Des changements qui améliorent notre vie quotidienne et que tout un chacun peut percevoir non seulement dans les bâtiments et les espaces publics, mais aussi dans la mode ou l’ameublement. Le nouveau Bauhaus européen vise à créer un nouvel art de vivre qui allie durabilité et bonne conception, qui nécessite moins de carbone et qui soit inclusif et abordable pour tous »
Cela «  en jetant des ponts entre la science et l’innovation, d’une part, et l’art et la culture, d’autre part, et en adoptant une approche globale ». Concrètement, quelque 85 millions d’euros sont consacrés à des projets de nouveau Bauhaus européen dans le cadre des programmes de l’UE pour la période 2021-2022. « De nombreux autres programmes de l’UE intégreront le nouveau Bauhaus européen en tant qu’élément contextuel ou priorité, sans budget spécifique prédéfini  », est-il annoncé.

En partenariat avec  https://www.lejournaldugrandparis.fr/wp-content/uploads/2014/07/Capture-d%E2%80%99%C3%A9cran-2015-09-23-%C3%A0-12.07.29.png

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La Caisse d’Epargne Ile-de-France, partenaire officiel du salon Produrable

Park near eiffel tower

Grand rendez-vous des acteurs de l’économie durable, le salon rassemblera 250 exposants et proposera 190 conférences aux milliers de visiteurs présents. Nous sommes fièrs de pouvoir y échanger avec les professionnels du secteur sur leurs enjeux de développement durable et de présenter ses solutions en matière de financement et d’investissement responsables.

DES RENCONTRES RSE POUR AGIR DURABLEMENT

Sur son stand entièrement éco-conçu de 80m2, la Caisse d’Epargne Ile-de-France consacrera les deux journées du 13 et 14 septembre à des rencontres et réflexions autour des solutions durables à mettre en œuvre pour la société.

Les tables rondes réunissent des acteurs reconnus, parmi eux l’enseignant-chercheur Jean-Pierre Deflandre ou encore le champion de tir Tanguy de la Forest, autour de 6 thématiques :

  • L’économie circulaire: reconditionnement et gestion des déchets
  • La construction durable: éco-matériaux et reconversion de sites
  • L’innovation : énergies renouvelables, accélérateurs d’entreprises, décarbonation
  • La mobilité durable: transports de demain
  • L’inclusion et le handicap: emploi, sport, communication
  • La finance solidaire et responsable: offres et placements à impacts positifs

Découvrez nos Rencontres RSE en cliquant ci-dessous :

PROGRAMME COMPLET

Retrouvez également Sébastien De Vanssay, Directeur des Clientèles Institutionnelles de la Caisse d’Epargne Ile-de-France, autour d’une table-ronde organisée par Produrable sur l’ancrage territorial et l’utilité sociétale, mercredi 14 septembre à 16h30.

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L’activité copropriété et bailleurs

Team of architects working on project paper blueprint. group of modern business people in casual wear discussing architectural designs while sitting in the creative office.
Une offre renforcée

L’offre Copros-Bailleurs de la Caisse d’Epargne Ile-de-France s’articule autour de 3 produits principaux s’adressant aux syndicats des copropriétaires représentés par un syndicat professionnel :

❙ Copro 100 : ce prêt est contracté au nom du syndicat des copropriétaires, mais les prélèvements sont réalisés individuellement sur le compte de chaque copropriétaire. Il est consenti sans limite d’âge, sans questionnaire de santé, un cautionnement bancaire évite toute solidarité entre les copropriétaires en cas d’ incident de paiement.

❙ Prêt à taux zéro copropriété : ce prêt bonifié par l’Etat accompagne la rénovation énergétique des copropriétés. Techniquement complexe, il est cependant idéalement en phase avec les attentes
du moment : accompagner et accélérer la réduction de l’empreinte carbone des rénovations et constructions. Un cautionnement obligatoire évite toute solidarité entre les copropriétaires en cas d’incident de paiement.

❙ Préfinancements des financements publics : ils concernent les solutions de type “Ma Prim’ Renov” et les dispositifs de l’Agence Nationale de l’Habitat (ANAH) ou des collectivités locales.
Ces aides étant versées à la réception des chantiers, Copros-Bailleurs joue ainsi pleinement son rôle de “facilitateur de projets” en donnant de la souplesse en amont aux copropriétés.

Parole d’expert

“Nos collaborateurs valorisent notre banque et jouent un rôle sociétal majeur”.

“ Nous participons pleinement à un écosystème de copropriétés plus vertueux, plus dans son époque. C’est gratifiant car chaque  collaborateur contribue à son niveau à la transition énergétique et valorise dans un même temps la démarche RSE de la Caisse d’Epargne Ile-de-France. »

Christophe Berfini, Directeur de secteur commercial copro-bailleurs.

Pour aller plus loin

Vous souhaitez plus d’information ? N’hésitez pas à nous contacter :

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Rencontre avec Pauline Becquey, Directrice Générale de Finance For Tomorrow

Financefortomorrow

Pauline Becquey, Directrice Générale de Finance For Tomorrow

Pauline Becquey, Directrice Générale de Finance For Tomorrow

Pouvez-vous nous présenter brièvement Finance For Tomorrow ?

Finance For Tomorrow est une initiative lancée par Paris Europlace en juin 2017 et dont l’objectif est de faire de la finance verte et durable un élément moteur du développement de la Place de Paris. Nous souhaitons en effet positionner Paris en centre financier de référence sur ces enjeux.
Aujourd’hui, nous comptons une centaine de membres, une majorité d’acteurs financiers mais aussi des entreprises et les pouvoirs publics, des think tanks et des ONG etc. L’idée est de faire travailler l’ensemble de cet écosystème varié pour transformer les pratiques au service de la finance durable. A ce titre, l’ambition est fixée : réorienter les flux de capitaux pour servir une économie bas carbone et inclusive qui soit en cohérence avec l’Accord de Paris de 2015 et les Objectifs de développement durable (ODD) de l’ONU.

Comment ces engagements se traduisent-ils ?

Nous avons créé des groupes de travail afin de partager concrètement les bonnes pratiques et produire de l’expertise autour des sujets de la finance durable. Nous organisons également chaque année le Climate Finance Day, à quelques semaines de la COP. Cette journée permet de faire le bilan des initiatives et surtout de fixer des engagements car le chemin à parcourir reste important. Le prochain Climate Finance Day aura lieu le 27 octobre. En outre, nous assurons la gestion de l’Observatoire de la finance durable qui répertorie l’ensemble des engagements et des annonces en matière d’investissement vert et permet de suivre ces transformations dans la durée grâce à des indicateurs précis.

La France est-elle en pointe dans ce domaine ?

La France a pris une longueur d’avance, notamment en matière réglementaire. On peut même dire qu’elle a joué un rôle de pionnier en matière de finance durable en instaurant des labels reconnus (ISR et Greenfin). En outre, la Banque de France a été à l’origine de l’initiative NGFS (Network for Greening the Financial System), un réseau de superviseurs internationaux concernés par l’enjeu climatique. Cette volonté de promouvoir la finance verte et durable se traduit également en matière d’éducation et de formation. On dénombre aujourd’hui en France plus de 120 acteurs de la recherche répertoriés sur ce sujet ! Enfin, notre pays peut se féliciter d’être le quatrième émetteur d’obligations vertes au niveau mondial.

Quels conseils donneriez-vous à des épargnants intéressés par la finance durable mais qui ne savent pas vers quels types de produits s’orienter ?

Le premier conseil est de s’appuyer sur les labels existants qui apportent justement la garantie qu’un organisme tiers indépendant a certifié le fonds proposé. Le deuxième conseil est d’interroger son conseiller financier qui sera en mesure de vous proposer des produits adaptés en fonction de votre profil de risque et de vos objectifs patrimoniaux. La diversité de l’offre ISR permet aujourd’hui d’investir dans de nombreux produits, y compris des fonds thématiques. Enfin, nous ne pouvons que recommander aux épargnants de consulter la documentation disponible des fonds. L’instauration de la réglementation SFDR oblige en effet les sociétés de gestion à classer les fonds proposés en plusieurs catégories. Dans ce cadre, les fonds article 8 (intégration de critères ESG) et article 9 (fonds avec un objectif lié à l’investissement durable) sont à privilégier.

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Demos et le choeur des amis de la Philarmonie

Philarmonie

La Caisse d’Epargne Ile-de-France et la Philharmonie de Paris s’accordent sur la même note depuis 2017. En effet, nous sommes mécène de DEMOS, Dispositif d’Education Musicale et Orchestrale à vocation Sociale pour des enfants de 7 à 12 ans réunis en orchestres classiques. En contrepartie de ce partenariat, 10 de nos collaborateurs ont été sollicités pour faire partie d’un choeur de donateurs et participent à des répétitions depuis mars dernier. Ce dispositif est valable pour tous les mécènes du projet.

Comme l’explique Christophe Monin, Directeur du mécénat et du développement de la Philharmonie de Paris, “il nous a paru important et intéressant de proposer aux donateurs individuels comme aux salariés de entreprises qui soutiennent DEMOS, d’accompagner les enfants d’une autre manière. L’idée est de travailler pour former un choeur amateur qui va préparer pendant plusieurs mois un programme de chant en vue d’accompagner les enfants lors du grand concert de fin d’année”.

Pour la cheffe de Choeur, Anne Goniaux, “après une première séance où les choristes étaient un petit peu en observation, tout le monde s’est rapidement détendu. Il y a beaucoup d’enthousiasme, de joie et c’est cela qui permet un chant investi et un rendu musical de qualité !” L’ensemble des choristes, au total 250, s’est produit avec l’Orchestre DEMOS de la ville d’Angers lors d’un concert à la Philharmonie de Paris le 19 juin dernier. Ils ont pu entonner ensemble l’Hymne à la Joie de la IXème Symphonie de Beethoven et le Choeur des Bohémiennes de Verdi au sein de l’emblématique établissement culturel du 19ème arrondissement.

Collaboratrice à la Caisse d’Epargne Ile-de-France et choriste, Valerie Martinez est ravie de “cette opportunité exceptionnelle, de cette expérience qui n’est pas donnée à tout le monde. Humainement c’est une découverte pour moi, c’est très enrichissant, apaisant et ça permet de se libérer !” conclut-elle.

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Inauguration de la Pépinière de Yerres

Pepinière de yerres
Des logements pour sortir de la précarité

La Pépinière, c’est d’abord la réhabilitation de l’imposant bâtiment en 23 logements d’insertion. Les locataires seront des ménages en situation précaire : familles, personnes en situation d’handicap, femmes en difficultés, jeunes en insertion… Ils bénéficieront d’un double accompagnement par SNL Essonne, associant travailleurs sociaux et bénévoles de Yerres, le temps pour eux de construire un parcours d’insertion.

Un centre socio-culturel ouvert sur la ville

L’ancienne chapelle a été transformée pour accueillir ateliers, spectacles, expositions…. Géré par l’association dédiée La Maison de la Pépinière, c’est un lieu ouvert à tous, agréé Espace de Vie Sociale, qui proposera également des activités à destination des locataires.

Une activité économique et pédagogique autour d’un jardin biologique

Dans le parc de la Pépinière, l’association Abeilles Aides et Entraide cultive un jardin biologique et créé des emplois d’insertion. Des actions de sensibilisation et d’animation sont également engagées, notamment auprès et lien avec plusieurs établissements scolaires du territoire.

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Mécène du Festival Les Etoiles du Classique

Saint germain en laye

Grand mécène de la culture, la Caisse d’Epargne Ile-de-France a soutenu la première édition du Festival de Saint-Germain-en Laye, Les Etoiles du Classique, qui s’est tenu du 1er au 3 juillet 2022.

Fidèles à notre engagement pour favoriser l’accès à la culture du plus grand nombre, nous sommes fiers de nous être associés à cet événement exceptionnel qui promeut de jeunes musiciens et met en lumière la musique classique.

Une nouvelle génération d’artistes

L’occasion a été offerte aux nombreux spectateurs de rencontrer la toute nouvelle génération d’artistes de grand talent réunis autour de Martha Argerich, pianiste de renommée et marraine du Festival.

Parmi eux :

La Violoniste Thomas LEFORT :

Le trio : Vassily Chmykov, Bruno Philippe et Akane Sakai :

La trompettiste, Lucienne Renaudin Vary :

Les chanteuses : Cyrielle Ndjiki et Irina Kyshliaruk

Un festival basé sur la filiation, la transmission, l’ouverture et la bienveillance

Dans un cadre chaleureux, les jeunes talents ont bénéficié de tous les outils disponibles pour trouver à l’occasion du Festival une véritable opportunité : celle de faire décoller leur carrière et de saisir leur chance au contact de professionnels influents du secteur. Cette énergie a trouvé pleinement sa place à Saint-Germain-en-Laye grâce à une grande scène ouverte et ses quelques 8 000 spectateurs.

Sensible à rendre accessible à tous de tels événements musicaux, l’équipe du Festival a ouvert une fenêtre sur les troubles du spectre de l’autisme en favorisant l’accueil de jeunes qui ne trouvent pas encore facilement leur place dans une salle close et régie par de nombreux codes afin qu’ils puissent partager et vivre eux aussi cette joie des concerts comme tout public. Parmi les invités, deux jeunes prodiges atteints d’autisme ont été présents sur scène.

 

Des valeurs d’ouverture que la Caisse d’Epargne Ile-de-France a été heureuse de pouvoir partager en musique !

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Engagés pour la transition environnementale

Le 7 juillet a eu lieu une visite du chantier de construction de la chaudière biomasse (CSR BioSynErgy 76) avec la présence de Edouard Philippe, Maire du Havre. L’objectif affiché est : 50 000 tonnes de CO2 économisés par an.

La Caisse d’Epargne Ile-de-France, co-financeur de ce projet, était sur place a eu l’occasion d’échanger avec Sabrina Soussan, Directrice Générale de Suez.

Soutenu par l’ADEME et la région Normandie, BioSynErgy est un projet innovant respectueux de l’environnement et générateur d’activité économique, pour la production d’énergie renouvelable et de récupération (EnR&R) : construction et l’exploitation d’une centrale de combustion mixte équipée d’une chaudière biomasse dont la finalité sera de produire de l’énergie en valorisant des bois déchets pour une majeure partie, ainsi que des Combustibles Solides de Récupération (CSR).

Le projet est financé par la Caisse d’Epargne Normandie (CEN), la Caisse d’Epargne Ile-de-France (CEIDF) avec la Caisse Epargne Loire Centre (CELC) et la Caisse Epargne Bretagne Pays de Loire (CEBPL), ainsi que par Arkea Banque Entreprises et Institutionnels (ABEI).

En tant que prêteur, la Caisse d’Epargne Ile-de-France s’inscrit au cœur de la stratégie de financement de projets durables de l’économie circulaire.

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